“Celle qu’on avait découverte au Quartz en tentative de danseuse flamenco inspirée par Israel Galván, a su se démarquer de ses maîtres et inventer un style très singulier où la technique flamenca apparaît comme un moyen et non plus comme une fin.(...) une danse issue du vide, fascinante, comme une flamme qui brûle l’oxygène qui l’entoure”
(Danser Canal Historique, FR)

“thoughtful and poignant: a sonic mirage, a desert ghost”
(Resident Advisor)

“The artists practice distinct forms but they’ve a shared aesthetic a pared down, deconstructed-sounding reworking of classical forms that makes the collaboration as intriguing as it is intense and energetic. As Younes navigates from one surface to the next, she never quite gives what the audience expects. Precise, percussive movement is complemented by long moments of stillness and stretches of silent motion. At various points she snaps her fingers, clicks castanets and, taking up a microphone, delivers a solo vocal in Spanish that sounds like a cross between crazed punk and flamenco cantor.
Allami’s composition oscillates from segmented bursts of oud that, after being interrupted by playback, coalesce into a dissonant melody that might be a synthesis of what’s come before. Oud and kettledrum solos play out in counterpoint to excerpts of prerecorded sound vocals, something like heavy drum’n’bass, finally a repeated, percussive note redolent of Arvo Part.
Silence is as integral to the score as stillness is to the choreography.”

(The Daily Star, LB)

Interview: L’être sur un pas de deux (L’Officiel Levant)




LÀ, CALLAS (2013)


Conférence de presse: Festival Montpellier Danse

Interview: Le Triangle de Rennes





JE SUIS VENUE  (2010)


“Concis, (im)pertinent et sarcastique”
(Libération, FR)

“Arraché à sa localisation géographique, voire ethnique, le flamenco de Yalda Younes opère un implacable labourage, et arpentage, des paramètres d’une construction identitaire, la sienne, vouée à la mise en cause de toute stabilité inatteignable, forcément inatteignable, à travers d’interminables et furieux zapateados. (...) Dans un Proche-Orient en feu, Je Suis Venue use des incandescence du corps pour ouvrir une brèche insoupçonnée, sur un point aveugle peut- être, dans le maquis saturé des représentations qui s’y rattachent. Cette pièce grave, sans illusion aucune, fait, étonnamment, énormément de bien, en désignant des possibles à portée de corps.”
(Mouvement, FR)

“Ses gestes, précis, arrêtés, sont aussi vifs que de violents coups de couteaux. Sa danse a en effet quelque chose de tranchant, de martial, de viril, mais elle comporte aussi une part de ridicule, tout comme la politique d’ailleurs.”
(toutelaculture.com, FR)

“Sous ses airs de ne pas y toucher, derrière sa subtile drôlerie, Je Suis Venue est une proposition profondément intelligente qui joue sans cesse sur les déplacements, la mise à distance et le décalage. Dans la forme, puisqu’on oscille entre la performance, la danse, dans une vraie fausse conférence ; dans le fond, puisque l’Histoire transparaît en filigrane sans heurer le spectaculaire ; et dans les croisements esthétiques, puisque le flamenco trouve une place toute particulière.”
(Journal La Terrasse, FR)

“The whole of “I Have Come” is comprised of parallel monologues – as opposed to, say, the “cultural dialogue” that underpins European diplomacy hereabouts. But this isn’t a politics lecture, and other more nuanced polarities suggest themselves. The formality of the language in the press briefing is utterly at odds with the absurdity of the words’ meaning. The inane political rhetoric is thrust against the expressiveness of Younes’ movement, the sternness of her demeanor against the floppy, self-satisfaction of her comic translator.”
(The Daily Star, LB)

Conférence de presse: Festival d’Avignon




ANA FINTIZRAK (2009)

Conférence de presse: Festival d’Avignon (Sujets à Vif)




NON (2006)

"Quant au Non de la Libanaise Yalda Younès, il est inouï. En neuf minutes, cet inédit laisse l'impression d'un cyclone. La pièce, écrite en hommage à Samir Kassir, historien et journaliste libanais assassiné le 2 juin 2005, dresse un corps homme-femme-cheval comme sait si bien le faire le flamenco quand il ne se prend pas les pieds dans une robe à pois."
(Libération, Fr)

“By forcing the virtuoso performance into close proximity to mechanized warfare, it underlines its essential fragility. The intensity of Younes’ performance resides in its struggle to sublimate recorded destruction as art.”
(The Daily Star, LB)

“La danseuse devient l’icône vibrante de l’âme humaine, confrontée aux éclats d’obus, aux clameurs et aux explosions des bombardements... Cette pièce, qui dure 9 minutes, nous transporte dans un univers intérieur et profond, une secousse de mémoire et de conscience.”
(Averroes, FR)

"NO" pushes the form to the edge of its possibilities while deconstructing it on several levels. Replacing the living accompaniment with a pre-recorded - and, more importantly, non-human and life-destroying - one harnesses flamenco to a more intense emotional engine than the human voice. By forcing the virtuoso performance into close proximity to mechanized warfare, it underlines its essential fragility.
(The Daily Star, LB)

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